« Nos bénévoles et nos bénéficiaires sont plutôt issus des quartiers ouest, principalement Hautepierre, mais il n’y a pas de critères pour bénéficier de ce service, précise Jérémy Govi. Des familles, des mamans seules, des étudiants, des personnes à la rue… l’an passé c’est l’équivalent de 10 000 repas qui ont été distribués. »
Les travailleurs sociaux des centres socio-culturels, les associations de quartier comme AMI ou Vivre, les salariés de proximité d’Ophéa qui détectent des difficultés… indiquent les lieux de distribution à ceux qui en ont besoin.
« Nous travaillons avec une trentaine d’associations pour alimenter également les foyers Adoma, le Wagon Souk,
l’épicerie solidaire Marcel Rudloff… ».
Pour poursuivre son action, Solidariteam cherche en permanence de nouveaux dons.